Les colonnes de véhicules fonçant dans le désert, des armes lourdes, des soldats entraînés qui maîtrisent la stratégie : ce n’est pas forcément les petits mickeys qu’on attendait. En Somalie, le raid mené par les militaires français pour libérer l’otage Denis Allex s’est terminé en carnage foireux : huit civils, deux militaires français et l’otage tués. « Cette opération est une pierre supplémentaire dans l’édifice de la victoire contre le terrorisme. Quelque part, nous n’avons plus d’otage en Somalie », a déclaré un ancien colonel de la DGSE, cité par « Le Canard enchaîné ».
Lui, il y a quand même un truc qu’il n’a pas dû comprendre. Pas d’otage, ça ne veut
La suite de cet article est réservée aux abonnés, ou par l'achat au numéro. Découvrez nos offres d'abonnements !
