Flanflan la Tulipe s’en ira bientôt en Alger défendre les intérêts fondamentaux de la nation française au prix, paraît-il, de quelques nouvelles repentances sur le massacre fantôme du 17 octobre 1961 et sur la répression des massacres, bien réels ceux-là, commis dans la région de Sétif, en mai 1945, sur les Français d’Algérie et les musulmans connus pour leur attachement à la France. Pour faire bonne mesure, le ministère des Affaires étrangères a prévu que Hollande emporterait avec lui, pour les offrir à son homologue algérien, le tyranneau Bouteflika, les clefs de la ville d’Alger, que le dey Hussein remit au général de Bourmont (élevé à la dignité de maréchal par Charles X quelques jours plus tard) le 5 juillet 1830, après la reddition de la ville. Rappelons qu’Alger était alors