François Hollande a un cu­rieux sens de la « normalité ». Pour le Français moyen, des vacances « normales », ce sont des vacances en famille. De Gaulle passait ses vacances dans sa propriété de La Boisserie. François Mitterrand, pour la part officielle de son existence, aimait à se reposer dans sa maison de Latche dans les Landes. François Hollande, lui, a bien pris le train pour partir en va­cances mais pour se rendre au fort de Brégançon, dans le Var, propriété de la présidence de la République que connaissait bien… Valérie Trierweiler.
Eté 2000, dans « Paris Match », celle qui n’était pas encore la compagne du président de la Républi­que mais une simple journaliste p­olitique avait eu le privilège de vi­siter les lieux. Comme on fait un re­pérage ? Ainsi put-elle décrire l’appartement du chef de l’Etat : « [Il] se trouve à l’étage. Il comprend un bureau dans la tour Est, une antichambre entre les deux tours et une salle de bains. La chambre avec balcon est située dans la tour Ouest et, comble du raffinement, le lit provençal est tourné vers la mer avec vue sur l’île de Porquerolles. Pas désagréable… » Mais pas assez confortable tout de mê­me puisque, a révélé « Le Ca­nard enchaîné », le couple s’y fait li­vrer

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