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Entretien avec Christian Vanneste « J’ai été la première victime d’un système totalitaire »

Cette semaine paraît, aux éditions Mordicus, M… au lobby gay ! (1) Une plaquette vigoureuse et alerte signée par Christian Vanneste, le président du Rassemblement pour la France (RPF), cloué au pilori (mais judiciairement blanchi) par ce groupe de pression de plus en plus intransigeant. Christian Vanneste prolonge dans « Minute » ce salutaire coup de gueule d’un homme libre.

Minute :  Votre livre s’intitule M… au lobby gay ! Le M…, c’est pour Merde ou c’est pour Merci ? Car finalement, après toutes vos mésaventures, vous êtes maintenant libre de dire tout ce que vous voulez…

Christian Vanneste : Non, c’est le mot de Cambronne ! C’est le cé­lèbre mot qui vient confirmer, de fa­çon claire et concise, ce que Cambronne venait de déclarer durant la bataille de Waterloo à un général anglais qui avait l’outrecuidance d’in­sister pour qu’il dépose les ar­mes : « La garde meurt mais ne se rend pas ! » C’est mon envoi au lobby gay : Vanneste meurt mais ne se rend pas !

Ce lobby, vous le dénoncez tout au long du livre, mais qu’est-ce exactement que le « lobby gay » ?

Le lobby gay est un mouvement qui trouve ses racines aux Etats-Unis dans la pensée de Harry Hay, un intellectuel marxiste et homosexuel. Dès la fin des années 1940, Harry Hay a théorisé le mode de dé­veloppement de ce groupe de pres­sion, en identifiant le groupe ho­mosexuel comme étant un groupe dominé et en en faisant une sor­te de prolétariat. Selon sa théorie, le groupe homosexuel devait s’engager dans un processus de libération par rapport à l’idéologie excluante de l’ensemble de la société. La différence avec le marxisme, et l’une des aberrations de


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  • Publié dans le numéro : 2618
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