Par un tour de passe-passe qui a abusé tous les sénateurs, le gouvernement a fait adopter une loi d’amnistie qui est aux syndicats – et particulièrement à la CGT – ce que la loi de 1990 fut aux partis politiques. Si le texte est validé par l’Assemblée nationale, les détournements de fonds commis pour financer des activités syndicales ne pourront plus être poursuivis ! Le PCF peut dire un grand merci au PS.