Vous n’y couperez pas (c’est le cas de le dire). Avec la rentrée, finis les jours où l’on peut impunément arborer une barbe de trois jours. Le visage lisse est désormais de rigueur et avec lui la fastidieuse corvée du rasage. A moins que vous n’ayez opté pour une pilosité faciale assumée sans égard pour la théorie du genre, vous voilà de nouveau condamné aux affres du feu du rasoir.