Plus que cinq semaines avant la fin du monde, à en croire le calendrier maya. Apparemment, nul n’a songé à en informer Copé et Fillon, qui continuent de se livrer un âpre combat des chefs au sein de l’UMP. Entre les deux, mon cœur balance. Le breuvage que sert Fillon me rappelle irrésistiblement un bortsch que j’ai naguère dégusté (mais très peu goûté) dans une cantine populaire polonaise au lendemain de la chute du communisme, régime incompatible avec la gastronomie. A la réflexion, il devait