En jeune femme imaginative, Aurélie Filippetti, ministre de la Culture, croit savoir ce qui se passe dans la tête de Jérôme Cahuzac : « C’est un sujet de roman parce que je pense que même au moment où il mentait, il devait y avoir forcément en lui une part de sincérité. » On ne dira jamais assez quels ravages les théories de Freud auront provoqué chez les esprits faibles. (BFM TV 2 avril 2013)