L’affaire Mila, cette ado obligée de se terrer chez elle pour avoir osé critiquer l’islam, aura eu le mérite de clarifier les choses : alors que la bien-pensance est aux abonnés absents, seuls les affreux « fachos » et un reliquat de gauche laïque se sont dressés pour défendre la liberté d’expression face aux petits Kouachi des banlieues.