« Dans les années 1960 […], le courant a été coupé. Le savoir essentiel, le savoir indispensable à la vie n’a plus été transmis. De cet accident gravissime, le corps social n’est pas près de se remettre [...] La patrie se trouve de ce fait exposée au péril de mort. Car toute patrie est fragile. Seules les méditations des sages peuvent l’aider à survivre ». Voilà ce que déclarait Jean de Viguerie dans le numéro 85 de la « Nouvelle Revue d’Histoire », résumant sa perception d’historien sur la crise que nous traversons.