Logo
Imprimer cette page

Rugby : la violence, ultime progrès des progressistes

Voici quelques semaines disparaissait Jean Anturville, ancien rugbyman béarnais devenu entraîneur de l’équipe de Narbonne. Si la nouvelle eut un certain écho dans la grande famille du rugby, c’est qu’on se met sérieusement à y compter les décès, souvent brutaux et inexplicables, d’anciens joueurs parvenus à la cinquantaine. S’y ajoute la recrudescence des morts violentes de jeunes joueurs – quatre cette année, sans compter les blessés, souvent à vie. Le rugby tuerait-il plus qu’on ne le dit ? De quoi cet étrange phénomène est-il le signe ?


abonnement
La suite de cet article est réservée aux abonnés, ou par l'achat au numéro. Découvrez nos offres d'abonnements !

Informations supplémentaires

  • Publié dans le numéro :
© 2012-2017 - ASM - Tous droits réservés