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La Sorbonne ne veut pas lutter contre la radicalisation

Il y a belle lurette que l’Université française a cessé d’être une institution fidèle à sa tradition des libertés académiques héritées du Moyen Âge. Bien au contraire, elle se met au service de la bien-pensance sacrifiant tout esprit critique. Dernier exemple : son refus d’organiser une formation visant à prévenir la radicalisation. Radicalisation ? Le gros mot qui fait peur…


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